jeudi 29 janvier 2009

Qu'espérer de ces religions dont on a l'impression qu'elles ne cherchent qu'à attiser violences et polémiques. Aujourd'hui, les évêques suisses prennent position dans une querelle théologique dérisoire qui les oppose à un groupuscule d'intégristes assez inoffensifs. Quelle importance dans notre vie de tous les jours ? Ne devraient-ils pas plutôt donner de la voix lorsque certains de leurs frères et sœurs en Jésus-Christ sont méprisés et traités de rats ou de rapaces.
Frank Böttger

mardi 20 janvier 2009

jeudi 15 janvier 2009


Etudiante en relations internationales venue à Paris, je reconnais l'importance d'un séjour de travail à l'étranger pour ma formation. J'effectue actuellement un stage dans une entreprise française où il m'est donné la possibilité de développer mes compétences interculturelles. Grâce à l'accord sur la libre circulation des personnes, j'ai pu obtenir un emploi et un logement sans «paperasserie» et sans avoir fait une seule démarche administrative - c'est à la fois étonnant et tellement agréable.

Simone Utz, Etudiante Université de Saint-Gall

jeudi 8 janvier 2009

Bon pour le porte-monnaie, bon pour la tête !



Les six années de mise en place de la libre circulation des personnes ont coïncidé avec la période la plus prospère pour l'économie suisse. Quel démenti apporté à ceux qui annonçaient une invasion catastrophique des travailleurs étrangers mettant les Suisses au chômage. Les mécanismes de sauvegarde permettant de freiner une immigration déstabilisante se sont avérés inutiles. Le simple égoïsme nous appelle à reconduire un accord qui nous a été si favorable. Un rejet serait la porte ouverte à tous les dangers pour notre économie. Les adversaires de la reconduction de l'accord ne peuvent apporter la moindre preuve de ses inconvénients. Ils en sont réduits à brandir la menace de la déferlante des mendiants Roms, ce qui est totalement hors de propos. Ils oublient simplement de mentionner que la libre circulation des personnes est subordonnée à l'obtention d'un permis de travail.


Albert Tille, ancien journaliste à la Télévision suisse romande et membre du Nomes