Saluons la décision de BMW de se retirer de la Formule 1. Ce retrait s’inscrit dans l’actuel projet de la marque d’affirmer son image de constructeur écologique. Dès lors, sa présence dans un championnat où les voitures consomment allègrement 75 lt aux 100 km apparaît effectivement peu compatible avec les exigences environnementales à prendre en compte dans cette nouvelle perspective.
Une démarche qui préfigure peut-être une prise de conscience plus générale qui condamnerait les adeptes des « sports » motorisés à renoncer à leur rôle de pétaradeurs-pollueurs qu’ils jouent aujourd’hui sans scrupule.