Le 2 mars, les jeunes UDC ont appelé à une manifestation visant soi-disant à « protéger les apprentissages des jeunes suisses » en s’opposant à la proposition de la Municipalité de Lausanne d’engager des apprentis sans-papiers afin de leur permettre d’accéder à la formation professionnelle comme le prévoit la Convention internationale relative aux droits de l’enfant.
Rappelons qu’en Suisse l’accès à la formation professionnelle n’est pas un droit, ni pour les Suisses, ni pour les étrangers, l’accès à la formation professionnelle étant soumis à l’obligation de trouver une place, selon les besoins du marché. Ce système est défendu bec et ongle par l’UDC qui s’oppose de fait au principe d’un droit à la formation professionnelle en réclamant moins d’Etat, c’est-à-dire moins d’écoles publiques, donc moins de places d’apprentissage et par conséquent plus de jeunes sur le carreau toutes nationalités confondues.
En essayant de faire croire aux jeunes Suisses qu’elle défend leur accès à l’apprentissage l’UDC les prend pour des idiots tout en essayant de propager une fois de plus la haine et le mépris de l’autre.
Rappelons qu’en Suisse l’accès à la formation professionnelle n’est pas un droit, ni pour les Suisses, ni pour les étrangers, l’accès à la formation professionnelle étant soumis à l’obligation de trouver une place, selon les besoins du marché. Ce système est défendu bec et ongle par l’UDC qui s’oppose de fait au principe d’un droit à la formation professionnelle en réclamant moins d’Etat, c’est-à-dire moins d’écoles publiques, donc moins de places d’apprentissage et par conséquent plus de jeunes sur le carreau toutes nationalités confondues.
En essayant de faire croire aux jeunes Suisses qu’elle défend leur accès à l’apprentissage l’UDC les prend pour des idiots tout en essayant de propager une fois de plus la haine et le mépris de l’autre.
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